Ma 3ème et dernière île indonésienne. Bon, j'me fais arnaquer une dernière p'tite fois avant de quitter Bali sur le prix du bus entre Ubung et Gilimanuk mais il faut dire qu'à 6h du mat' j'ai pas la force de me rebeller!!! Donc après 5h de route dans un minibus ultra cheap payé super cher, c'est en ferry que je traverse le détroit de Bali pour rejoindre Java et plus précisément la ville de Banyuwangi. Cette dernière est idéalement située pour explorer le fameux volcan Kawah Ijen, tristement célèbre pour le travail de forçat des porteurs de soufre. Le propriétaire de la p'tite maison d'hôte dans laquelle je dois séjourner vient me chercher au ferry et m'explique en cours de route que c'est l'Eid ce weekend et que PERSONNE ne travaille... quel mauvais timing!!! Et évidemment, aucune chance pour qu'il me prévienne avant hein. Bref, me voilà donc coincée dans ce petit village pour 2 jours. En plus du fait qu'il n'y a pas grand chose à y faire, tout est littéralement fermé, la fin du Ramadan étant aussi importante que Noël chez nous. Je me balade donc aux alentours, au son des chants des Mosquées environnantes tout en longeant les jolies petites rizières du coin, je suis la seule touriste et tout le monde se demande bien c'que j'fais là! Et c'est à partir de cet instant qu'à commencé le jeu du "Miss, photo" ou comment c'est trop cool de poser avec une "blanche" qu'on connait pas!!! Faut croire qu'on est des créatures étranges. Alors à ce moment là je trouvais ça assez cute, surtout venant de la part d'enfants mais vers la fin de mon séjour javanais, j'avoue que ça commençait à m'taper sérieusement sur les nerfs (vous connaissez ma patience légendaire hein!!!). Revenons "à nos volcans"... mon hôte me chargeait 700 000 Rp (soit 70$cad) uniquement pour le transfert aller/retour au Ijen mais étant donné que j'ai eu le temps en masse de fouiller les blogs, je m'aperçois qu'il est vraiment très cher. Je fais donc appel à Mr Paing qui, pour le même montant inclut les transferts, le guide, l'admission, la nuit et les repas. Le départ du trek a lieu en pleine nuit, j'enfourche le scooter à 12:30 et c'est partiiii! La randonnée jusqu'au cratère est plutôt facile mais je suis contente d'avoir mon guide avec moi lorsque nous descendons pour voir les flammes bleues de plus près... glissant mais impressionnant! Nos doigts font une petite saucette dans le lac le plus acide de la planète (évidemment il me le dit une fois que mes doigts sont trempées!!) avant de remonter pour admirer le lever du soleil et le lac vue d'en haut. Encore une fois, la météo ne sera pas de mon côté puisque les nuages empêcheront toute visibilité... I have a f** cloud over my head!!! Donc pas d'lac et pas d'soleil, déçue mais comme on dit, c'est la vie! Ah oui, et je ne verrai pas non plus les célèbres porteurs de souffre car c'est les vacances des indonésiens et même eux ne travaillent pas! Chanceuse jusqu'au bout quoi... Dès ma descente du Ijen, je pars direction l'autre volcan connu du coin j'ai nommé le Bromo. Comme plus de billets de train disponibles, vacances des locaux obligent, je prends de nouveau le bus vers Probolinggo puis un minibus vers Cemoro Lawang, village au pied du volcan. Évidemment j'arrive la nuit tombée, pas le temps de repérer les lieux mais j'avais lu que la rando pouvait facilement se faire seule et que le parc n'est pas officiellement payant. Je demande une map à l'hôtel et me dis que je suivrai la foule le lendemain. Levée à 4h du mat' munie de ma frontale, je sors de l'hôtel et là c'est le défilé des 4x4, personne n'a l'air de faire le parc à pied. Bon ba tant pis, j'y vais seule. Là je passe la gate et quelle surprise, on me demande 220 000 Rp (22$cad) pour l'entrée, ça commence bien. Je me fais ensuite accoster par une dizaine de scooters qui veulent m'y emmener et que je recale l'un après l'autre parce que "moi" je veux marcher. Le dernier, qui avait quelques notions d'anglais, me dit que je ne suis pas sur le bon chemin. Bon, n'étant pas sûre de moi et voyant l'heure tournée, je m'dit que je vais lui faire confiance et lui demande de m'y emmener. Erreur, le boulet m'amènera au cratère qui n'est pas le lieu pour observer le lever du soleil. Tant pis, c'est tout de même de là que je le verrai parce que oui, il se pointera, timidement mais surement! Il est temps de reprendre la route en direction de Yogyakarta et à l'arrêt de bus, je rencontre Elian qui était dans mon groupe lors du trek du Rinjani. Ô joie, nous avions pris une photo au sommet et je n'avais malheureusement pas eu le temps de leur donner mon contact FB... j'ai donc pu récupérer la seule et unique photo de mon exploit, yé ;) Yogyakarta plus communément appelée Yogya ou la ville dans laquelle j'ai le plus "chillé" et profité de l'instant T. L'endroit où je séjournais y était pour beaucoup, mon coup d'coeur de l'Indonésie en matière d'hébergement pour backpacker : Yogyakarta B&B. Ambiance unique et terrasse qui invite clairement à relaaaaaxer! Des bonnes bouffes en bonne compagnie, de la rigolade et une 1ère coupe d'Europe pour le Portugal... que demander de plus hein!? Un peu d'culture quand même... Au départ de Yogya je pars en excursion pour la journée (575 000 Rp soit 58$cad incluant admissions et transport) visiter le temple bouddhiste de Borobudur. Je choisis de voir le lever du soleil (ennuagé mais j'ai l'habitude maintenant) depuis une colline située face au site. Tu peux aussi le voir depuis le temple mais il t'en coûtera le double... arnaque un jour, arnaque toujours!!! Les yeux dans'graisse de binnes, j'me retourne et qui je vois, encore Elian du Rinjani et du Bromo... Décidément, on était dû pour se rencontrer! Selfie time! Je poursuis avec le temple de Prambanan. De manière générale, les 2 sites sont plutôt splendides mais la visite est vite gâchée par la foule de locaux qui ne fait que se prendre en selfie ou vouloir une photo souvenir avec le touriste "blanc". Ils s'installent là pendant des heures et s'tapent la jasette. Donc pas vraiment de côté spirituel et pour prendre une photo sans personne, bonne chance! Après moultes tergiversations, je quitte finalement Yogya pour le plateau de Dieng. Bon, j'hésitais avec les îles Karimunjawa mais j'avoue que ça aurait été plus compliqué de m'y rendre et surtout short dans le temps mais ça aurait été certainement un plus gros wow que celui de Dieng. Je séjourne donc à Wonosobo pour 2 nuits, au Duta Homestay que je négocie à 300 000 Rp pour le séjour (30$cad). Dieng c'est un magnifique lac vert, des tas de selfies avec les locaux (et j'en ai même pris un pour la peine), un p'tit lac bouillonnant et le plus beau reste la route pour s'y rendre avec les différentes cultures en terrasse. Ma découverte de Java se termine par la région de Bogor, pluvieuse et verdoyante, c'est une belle alternative pour ceux qui ne souhaitent pas rester à Jakarta. Ça me prendra 21h pour m'y rendre depuis Wonosobo... une vraie galère. J'y séjournerai 3 nuits, au Cendana Mulia Hostel, le moins cher du coin (119 000 Rp/nuit = 12$cad). La ville en tant que telle est plutôt quelconque, pas grand chose à y voir à l'exception du jardin botanique, un petit oasis de verdure et de calme dans tout ce trafic. On s'y déplace en angkot, des minuscules bus verts et on y savoure de bons p'tits plats dans les nombreux restos de la ville... et un bon latté/croissant, ça faisait longtemps!!! L'attrait majeur du coin reste les plantations de thé ultra verdoyantes. En conclusion :
En mémoire de mon ami Yves Boisvert qui est parti trop vite...
4 Commentaires
C'est en "fast boat" que je rejoins l'île de Bali depuis Lombok. Bon, encore une fois (et encore de nombreuses fois après), je suis certaine que je me suis faite avoir mais je crois que c'est la culture indonésienne de rouler les touristes alors va falloir que je m'y fasse! J'ai donc déboursé 450 000 Rp (soit 45$CAD) pour le bateau et le transfert vers Ubud depuis le port de Padangbai. J'embarque à bord en montrant le voucher que l'on m'avait remis et le "Capitaine" me dis qu'il le conserve. Je lui réponds donc que j'ai un transfert après et lui demande si c'est un problème sans bon d'échange, il me dit que non. Parfait. Je sors du bateau en arrivant à Bali et me dirige vers les transféristes et là, on me demande un ticket. Je leur explique ce qui s'est passé précédemment mais ils me répondent "no ticket no transfer". Ok, mon sac de 15 kg et moi-même commençons à nous énerver un peu mais je retourne au bateau en expliquant ma problématique et le gars sort de son chapeau un ticket à mon nom. REALLY!!! Pourquoi ne pas me l'avoir donné avant?!? Bref, retour vers "la gare routière", je fais la ligne comme tout le monde, remet mon ticket et me dirige vers les bus en direction d'Ubud. Là les 2 chauffeurs m'interdisent de monter car je n'ai pas de ticket alors que je leur ai remis il y a quelques instants... comme tout le monde. Là je m'énerve vraiment. Quelques clients viennent appuyer mes dires mais ils ne veulent rien entendre. Je crois que c'était de l'acharnement. Après une dizaine de minutes d'explications, j'exige de voir tous les tickets pour vérifier si le mien est dans la pile... BINGO!!! Je leur remet dans la face et leur dit que je monte dans le bus. Bienvenue à Bali! Je débarque à Ubud en fin d'après-midi, dans la guesthouse la plus cool à date, le Dewa Hostel. Idéalement située, propre, banana pancake tous les matins préparés par le proprio Bim... et j'y est rencontré des tas de gens sympas (10 000 Rp/nuit soit 10$CAD). Voulant volontairement zapper le sud de Bali, j'ai décidé de découvrir celle-ci depuis le centre, en faisant de Ubud mon quartier général pour 6 nuits. Ce premier soir je rencontrerai Alicia, une espagnole qui vit en Allemagne avec laquelle je pratiquerai mon espagnol pendant les 2 prochains jours! Ubud est une petite ville super charmante... les français l'ont également constaté puisqu'il y en a des tas!!! Des boutiques indépendantes au grand marché qui ne vend que des souvenirs cheap, des petits warung (modeste resto) aux restaurants tendances, des jolies maisons aux splendides cours intérieures et surtout la possibilité de faire des tonnes d'activités : yoga, cours de cuisine, massages, sculpture, dessin, visite de musées, etc... on ne s'ennuie pas et on ne veut plus partir! Alicia et moi ne conduisant pas de scooter, on décide alors de suivre les 2 itinéraires à pied du Lonely Planet pour admirer les paysages alentours. Les balades seront agrémentées de pauses café (ouais, vous savez le fameux Kopi Luwak du film The Bucket List? Et ba il est produit ici, en Indonésie) et déjeuner (des currys, fried rice appelé Nasi Goreng, fried noodles appelé Mie Goreng, etc...). J'irai seule à la Monkey Forest puisqu'Alicia prenait un cours de yoga. Bon, je suis pas fan des singes mais les voir tous en liberté dans cet immense terrain de jeu verdoyant c'est juste génial! À faire mais sans avoir de bouffe ni de bouteille dans son sac parce que c'est pas pour rien qu'on dit "malin comme un singe"!!! (40 000 Rp soit 4$CAD) Avec une petite gang de l'Auberge, on avait planifié d'aller visiter le temple Tanah Lot au sud d'Ubud, au coucher du soleil. Bon, ba journée super chaude et humide qui s'est terminée par de la pluie. On a tout de même maintenu notre excursion : pas de coucher du soleil car derrière les nuages mais arc en ciel et en plus on a été béni!!! Journée de scooter avec un driver pour aller voir certains incontournables comme le Temple Ulun Danu Beratan ainsi que les rizières Jatiluwih. Et puis, c'est le temps de remettre les pieds dans les chaussures de rando pour aller de nouveau explorer un volcan : le Batur. Beaucoup moins haut et difficile que le Rinjani mais encore une fois, je m'essaie pour un lever du soleil. C'est avec Alberto, un italien, que je pars en scooter à 2h30 du matin en direction du volcan. On sait qu'il y a une mafia au Mont Batur, c'est une association (protégée visiblement par le gouvernement) qui a pris d'assaut le volcan et qui oblige les touristes à prendre un guide (même si clairement, ça n'est pas nécessaire). On s'essaie tout de même mais dès notre arrivée, on se fait intimider par un soit-disant "leader" qui nous dit que la montagne lui appartient. Bref, on ne voulait pas vraiment encourager ce genre de façon de faire mais on était là alors on a payé le 200 000 Rp/pers demandé (20$CAD) et on a eu notre jeune guide de 19 ans qui, pour le coup, parlait très bien anglais et à qui on a pu poser toutes nos questions. En ce qui concerne le lever du soleil baaaa... encore raté!!! Le retour a été anecdotique. En effet, Alberto avait pris le mauvais scooter, la clé du contact fonctionnait mais pas celle pour ouvrir le réservoir d'essence. Dommage. Donc ce qui devait arriver arriva, panne d'essence. Après quelques discussions avec les gens du coin, on fini par trouver un garage qui nous sauvera de notre petite mésaventure, ouf! Sur le chemin du retour, on fera un p'tit stop rizières! Mon séjour à Ubud s'est soldé par un massage balinais d'une heure pour la modique somme de 70 000 Rp soit 7$CAD et le fameux show de musique et danse qu'il ne faut pas manquer (80 000 Rp/8$CAD)! En conclusion :
Ça commence de nouveau par des vols : de Singapour à Denpasar puis vers Lombok, l'île à l'Est de Bali. Bon, évidemment, le second était d'une durée de 20 minutes (à peine le temps de déposer le p'tit muffin et la bouteille d'eau qu'on atterrissait!!!) mais pour une question de praticité, j'ai opté pour cette solution car je l'apprendrais plus tard, se déplacer sur cette île n'est pas chose aisée. Je commence donc ma découverte par le sud, Kuta Lombok (je précise car il y a une ville du même nom à Bali et apparemment, plus touristique que ça tu meurs!), un petit village de surfers majoritairement musulman. Oui, je spécifie la religion car comme c'est le Ramadan en ce moment, mes soirées ont été bercées par l'appel à la prière et c'est aussi ce qui me réveillait à 5h du mat'... ô joie!!! (no offense mais est-ce vraiment nécessaire les speakers?!). J'opte de nouveau pour un hébergement dortoir au www.mimpimanis.com/ pour la modique somme de 10$CAD/nuit (ce qui représente 100 000 Roupies indonésiennes). À mon arrivée, je partage ma chambre avec 4 gars... bon baaaa d'accord! Un peu excentrée du village, ma guesthouse fournit le transfert vers "downtown"... une rue et demi de shops, restaurants et bars! Par contre, pour se rendre aux plages, il est primordial d'avoir un moyen de transport. Bon, je ne conduis pas de scooter pasque clairement j'suis pas douée mais il faut définitivement que j'm'y mette car c'est réellement nécessaire pour sortir des sentiers battus... chaud devant!! Bref, je me trouve donc un chauffeur (de scooter bien sûr) pour me conduire aux Mawun Beach la 1e journée et à Selong Belanak Beach la 2nde. Les doigts d'pied en évantail avec un livre de fille idéal pour la plage : Gin Tonic et concombre de Rafaele Germain... si vous ne l'avez pas lu les filles, c'est assez drôle et très "québécoisement" coloré! Après 2 jours de farniente, il est temps de se dégourdir les jambes (et c'est pas peu dire). Depuis Kuta je négocie mon trek vers le Mont Rinjani qui se trouve au nord de l'île. Un allemand de la guesthouse l'avait fait et m'avait dit qu'il avait réussi à avoir l'excursion de 3j/2n à 1 200 000 IDR (soit 120$CAD) en prétextant qu'un ami à lui l'avait eu à ce tarif. Je plagie donc sa technique, j'arrive dans la p'tite agence, le vendeur me dit 1 500 000 IDR et moi "my friend paid 1 200 000 IDR"... OK. Trop facile!!! J'appris plus tard que pour le même trek, certains de mes co-marcheurs avaient payés 2 000 000 IDR. Transfert interminable vers la ville de départ, Senaru. Alors je dis interminable car premièrement les indonésiens ont une conduite ultra dangereuse (en plus de conduire "à l'anglaise", ils roulent super vite et dépassent dans les virages, très rassurant quoi) mais aussi parce qu'ils font un genre de travail à la chaine entre les différentes agences intermédiaires donc tu vas d'un point A à un point B avec l'un, l'autre vient te chercher au point B pour te ramener au point C, etc... Bref, à la veille du grand départ, on nous loge dans un p'tit shak. Hector sera mon coloc durant cette aventure... un artiste français tiens, pour les amateurs de livres pour jeunes enfants : hectordexet.ultra-book.com/. Le lendemain, le départ est long a démarré mais nous y allons finalement. Nous foulons les premiers sentiers vers 10h du matin tout en voyant au loin notre cible : le sommet du mont Rinjani, le 2e plus haut volcan d'Indonésie (3 726 m). Nous avons dû marcher environ 5h pour arriver au camp de base. Ça n'était pas de tout repos mais tout à fait faisable. Nous avons pu admirer le coucher du soleil et une nuit des plus étoilées. Le dodo dans la tente, en plus d'être court a été totalement inconfortable. Disons que leurs équipements sont assez minces : un tapis de sol et un sleeping bag pas très épais. Levés à 3h du matin, munis de notre frontale, nous voilà partis pour 3h de marche direction le top de la montagne, excités à l'idée de voir le lever du soleil depuis tout là haut là haut. Mais comment dire, si l'enfer existe il doit certainement ressembler à ça : des sentiers sablonneux et abruptes, on fait un pas en avant on recule de deux. L'altitude, le vent et le froid nous coupent le souffle. C'est interminable, je me suis demandé 10 000 fois c'que j'crissais là franchement en me réconfortant que la vue que j'aurai n'aurait pas de prix. À bout de force, j'arrive au sommet où il fait un froid glacial. Nous essayons de nous réchauffer dans nos sacs de couchage (oui oui on les avait apporté) en attendant que les nuages s'en aillent... ils ne s'en iront jamais et pire même, la pluie fera son apparition. C'est donc bredouille que nous faisons marche arrière dans des conditions pires qu'à l'aller puisqu'il pleuvra pendant toute la descente. 3h de calvaire. Après une dizaine de chutes, j'arrive au camp toute trempée ainsi que mes affaires de rechanges, téléphone, appareil photo, passeport... et pas une ostie d'photo! Déception totale. Tout ça pour ça. Là le guide nous dit "bon il devrait pleuvoir les 3 prochains jours, on continue le trek ou on fait demi-tour?". À l'unanimité nous déciderons de rebrousser chemin. Et rebelote, 5h de marche pour revenir à la case départ. Une journée de 11h de marche... j'ai juste plus de jambes! La pluie devrait cesser sur l'ile de Lombok à partir de samedi. Je prévoyais aller à Gili Air après le trek mais j'ai finalement changé mes plans pour aller directement à Bali qui a commencé fort mais je vous raconterai ça au prochain épisode ;) En conclusion :
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